Crédit photo : Yanick Macdonald
Théâtre de La Sentinelle
Durée : 1:15
Rencontre avant-spectacle :
samedi
6
avril 2024,
Rencontre après-spectacle :
vendredi
5
avril 2024,
21:00
Animation: Mathilde Hountchégnon
Un comédien se prépare à entrer en scène pour jouer le rôle de Mohamed Ali, raconter ses combats, ceux du boxeur, comme sa victoire contre George Foreman à Kinshasa en 1974, mais surtout ceux de l’activiste politique, dont son refus d’aller combattre au Vietnam – un soliloque qui ramène sans cesse l’acteur à sa propre condition. Or en multipliant ce monologue pour plusieurs voix, les questionnements, les expériences vécues et les actes prennent une puissante ampleur collective : tour à tour et ensemble, les corps sont traversés par l’acteur, par Ali, par la vie au Québec.
Dieudonné Niangouna
Tatiana Zinga Botao et Philippe Racine
Martin-David Peters, Lyndz Dantiste, Widemir Normil, Maxime Mamperousse, Rodley Pitt, Philippe Racine, Frank Sylvestre et Oumy Dembelé (+ 1 comédien à déterminer)
Scénographie et décor : Marie-Ève Fortier
Conception des éclairages : Valérie Bourque
Costumes : Ange Blédja Kouassi
Compositeur : Elena Stoodley
Consultante chorégraphique : Claudia Chan tak
Assistance à la mise en scène : Delphine Rochefort Boulanger
Adresse
5043, rue Saint-Dominique, 3e étage, Montréal, QC, Canada, H2T 1V1
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La médiation artistique recouvre des pratiques d’intervention et des dispositifs mis en œuvre par des médiateur·rice·s et artistes professionnel·le·s afin de favoriser le rapprochement entre l’art et les publics. Elle a donc pour objectif de faire vivre et valoriser une expérience artistique signifiante en mettant en dialogue les œuvres, la démarche créative des artistes et les spectateur·rice·s.
Les activités de médiation artistique permettent également aux spectateur·rice·s de mieux appréhender une œuvre et de mieux en saisir le sens en vue de leur faire vivre une expérience de qualité et de susciter chez eux·elles une réflexion critique. La médiation artistique a donc pour effet d’éveiller ou de nourrir la curiosité du spectateur·rice et en lui permettant, éventuellement, d’élargir le champ des œuvres artistiques qu’il·elle souhaite fréquenter.